Chère lectrice, cher lecteur,
Septembre… un mois de transition, où l’été cède lentement la place à l’automne, les jours raccourcissent, l’air fraîchit, les premiers arbres commencent à se parer de teintes lumineuses. Septembre… un mois de changement, qui nous rappelle à quel point chaque instant est précieux, mais aussi synonyme de recommencement et de réflexion, tant dans la nature que dans notre vie privée et professionnelle.
Pour nombre d’entre nous, nous renouons alors avec la routine d’avant les grandes vacances : c’est le début d’une nouvelle année scolaire ou, parfois, d’une nouvelle orientation professionnelle ; avec son lot de défis mais aussi de nombreuses possibilités de se développer, d’aller de l’avant, de se fixer de nouveaux objectifs et de trouver de nouvelles inspirations.
Le retraitement des dispositifs médicaux, ce n’est pas simplement un peu de nettoyage et de stérilisation… bien au contraire ! Il s’agit d’un processus complexe, qui requiert des connaissances précises et pointues, notamment des matériaux utilisés, des domaines d’application et des risques potentiels. Toute erreur peut avoir de très lourdes conséquences, sur la santé des patients mais aussi sur la confiance placée dans le système de santé publique.
Malheureusement, dans la pratique, force est de constater que toutes les parties prenantes au processus ne disposent pas toujours des connaissances techniques requises ou que les concepts existants ne sont parfois pas scrupuleusement appliqués et respectés. D’où toute l’importance de formations régulières, qui permettent de rappeler ces différents points cruciaux.
Dès lors, nous vous invitons à intégrer les différentes informations de cette newsletter dans votre travail quotidien ainsi qu’à les partager avec vos collègues. Car ce n’est qu’en agissant ensemble que nous sommes en mesure de respecter les critères très stricts que nous nous sommes fixés et, partant, de garantir la sécurité de nos patients.
Je vous souhaite un très agréable mois de septembre et me réjouis de vous retrouver dans les prochaines éditions.
Cordialement,
Ushananthini Puspanantha